Les trois courts-métrages réalisés par Amandine Stelletta réunissent un casting de prestige autour de thématiques distinctes :
Patrick Bruel, chanteur et acteur français reconnu, incarne un père en deuil dans le clip consacré au cyberharcèlement. Sensible à cette cause, il avait déjà évoqué le sujet dans sa chanson Maux d’enfants (2012), plaidant pour la libération de la parole des enfants.
Charles Berling, comédien et metteur en scène, interprète un adulte marqué par les séquelles du harcèlement vécu dans sa jeunesse, abordant les troubles anxieux et la dépression que ce traumatisme peut engendrer.
Antoine Duléry, acteur populaire du cinéma et de la télévision, incarne dans le troisième film une vision introspective et symbolique : celle d’un enfant victime d’isolement qui peine à se projeter dans l’avenir.
Leur participation bénévole témoigne de la mobilisation du monde artistique autour d’un sujet encore tabou, et confère aux films une puissance émotionnelle rare.